HISTOIRE
Violette, Klaus et Prunille Baudelaire perdent leurs parents dans un incendie qui a entièrement ravagé leur maison. Mr Poe, ami des défunts et également possesseur de l'héritage des enfants, les confie à un parent éloigné, le comte Olaf. Mais ce sinistre personnage n'a qu'une idée en tête : mettre main basse sur leur fortune...
CRITIQUE
Une série jeunesse que j'avais commencé à 12 ou 13 ans mais dont j'ai arrêté la lecture au bout du tome 9. Ca me déprimait trop. Aujourd'hui, je reprend la lecture de cette saga qui comporte en tout treize volumes et je compte bien arriver au bout, cette fois !
Pour ce premier tome, l'auteur nous offre une introduction de tout son "joyeux" monde : les orphelins Baudelaire, chacun avec sa particularité (Violette passe son temps à fabriquer des engins, Klaus dévore les livres et Prunille aime mordre tout ce qui lui passe sous la dent), le Comte Olaf et toute sa clique, Mr Poe et sa famille. Et déjà, deux tendances apparaissent : les gentils et les méchants. Nous avons donc un roman manichéen qui montre très clairement des enfants intelligents devant affronter des adultes cruels, avides et parfois même stupides.
L'histoire se déroule dans un huit-clos permanent (sauf vers la fin). L'impression d'étouffement et d'emprisonnement est renforcée des passages descriptifs détaillés et parfaitement représentatifs de la personnalité du personnage. La maison crasseuse d'Olaf est un contraste avec la maison fleurie et propre de la juge Anna Habbott.
L'auteur entretient une sorte de correspondance avec le lecteur car il met parfois le récit en pause pour nous expliquer un fait, un détail. Il anticipe parfois même la suite des évènements. C'est un détail assez amusant qui m'a plu, suite à la relecture de ce premier tome.
Toujours en parlant de Lemony Snicket, son humour noir est omniprésent dans le récit. J'ai eu l'impression de trouver une ambiance gothique (sans doute dûe à la maison du Comte Olaf) dans laquelle évoluelnt les trois enfants désarmés et pourtant unis comme les doigts de la main.
Un premier tome qui sert donc davantage d'introduction pour la saga que comme un véritable roman isolé. Un bon départ, mais qui ne se répètera pas au fil des tomes, j'espère...
NOTE
3,5/5
Violette, Klaus et Prunille Baudelaire perdent leurs parents dans un incendie qui a entièrement ravagé leur maison. Mr Poe, ami des défunts et également possesseur de l'héritage des enfants, les confie à un parent éloigné, le comte Olaf. Mais ce sinistre personnage n'a qu'une idée en tête : mettre main basse sur leur fortune...
CRITIQUE
Une série jeunesse que j'avais commencé à 12 ou 13 ans mais dont j'ai arrêté la lecture au bout du tome 9. Ca me déprimait trop. Aujourd'hui, je reprend la lecture de cette saga qui comporte en tout treize volumes et je compte bien arriver au bout, cette fois !
Pour ce premier tome, l'auteur nous offre une introduction de tout son "joyeux" monde : les orphelins Baudelaire, chacun avec sa particularité (Violette passe son temps à fabriquer des engins, Klaus dévore les livres et Prunille aime mordre tout ce qui lui passe sous la dent), le Comte Olaf et toute sa clique, Mr Poe et sa famille. Et déjà, deux tendances apparaissent : les gentils et les méchants. Nous avons donc un roman manichéen qui montre très clairement des enfants intelligents devant affronter des adultes cruels, avides et parfois même stupides.
L'histoire se déroule dans un huit-clos permanent (sauf vers la fin). L'impression d'étouffement et d'emprisonnement est renforcée des passages descriptifs détaillés et parfaitement représentatifs de la personnalité du personnage. La maison crasseuse d'Olaf est un contraste avec la maison fleurie et propre de la juge Anna Habbott.
L'auteur entretient une sorte de correspondance avec le lecteur car il met parfois le récit en pause pour nous expliquer un fait, un détail. Il anticipe parfois même la suite des évènements. C'est un détail assez amusant qui m'a plu, suite à la relecture de ce premier tome.
Toujours en parlant de Lemony Snicket, son humour noir est omniprésent dans le récit. J'ai eu l'impression de trouver une ambiance gothique (sans doute dûe à la maison du Comte Olaf) dans laquelle évoluelnt les trois enfants désarmés et pourtant unis comme les doigts de la main.
Un premier tome qui sert donc davantage d'introduction pour la saga que comme un véritable roman isolé. Un bon départ, mais qui ne se répètera pas au fil des tomes, j'espère...
NOTE
3,5/5