HISTOIRE
En l'an 1327, Guillaume de Baskerville et son secrétaire sont priés de découvrir qui a poussé un moine à se fracasser les os aux pieds des vénérables murailles d'une abbaye. Commence alors une enquête qui prendra de plus en plus d'ampleur à mesure que les jours passent...
CRITIQUE
Lecture commune organisée par Livraddict, je m'y suis plongée... pour en sortir extrêmement déçue. Les raisons sont simples :
Tout d'abord, l'écriture est toute petite. Je ne suis pas contre une typographie serrée, mais lorsqu'on ne veut pas se prendre la tête, je crois que ce livre n'est pas fait pour cela ! Bien au contraire, il demande un effort de concentration monstrueux et j'ai eu du mal à plonger dans l'histoire. Qui en gros se résumé à une enquête policière dans une abbaye (dont l'identité est inconnue) en l'espace de sept jours. Ca me semblait pas mal, mais l'auteur nous en donne TROP.
Je m'explique : au fil de l'intrigue, l'auteur nous parsème de mots latins ! D'accord, ce livre a été traduit de l'italien, et c'est bien connu, l'Italie est réputée pour avoir été l'une des villes les plus prestigieuses de l'Empire Romain. Mais tout de même ! Le traducteur aurait pu nous traduire les passages latins ! Mais non, il se contente de nous les servir comme un cheveu sur la soupe et c'est au lecteur de se démerder pour traduire... Bon, ce fut pour moi le plus gros défaut du roman, voire même un coup de gueule, mais j'assume.
Au niveau de l'intrigue, là encore, on a droit à des passages qui pour moi, n'ont rien à faire dans ce roman. Et j'ai essayé de calculer ; si on enlève les pages que je juge inutiles, cela ferait environ... une centaine de pages ! Et je ne vois pas l'intérêt de savoir, par exemple la pauvreté de Jésus. L'auteur nous parsème de détails dont le lecteur s'en fout. Cherche-t-il à nous prouver qu'il a une intelligence surdéveloppée ? En tout cas, je ne suis pas convaincue.
Les personnages maintenant. Il y en a pas mal et je suis vite perdue parmi eux. Mais deux d'entre eux sortent : Guillaume de Baskerville, Sherlock Holmes moyen-ageux et son secrétaire Adso (le narrateur de l'histoire). Ce dernier nous assome avec des descriptions à faire décrocher la mâchoire, tant elles sont ennuyeuses... Je pense notamment au prologue lorsqu'il nous décrit Guillaume dans les moindres détails. Eco tenterait-il d'imiter Balzac ? Tentative ratée, selon moi.
Bref, ce livre fut une belle daube. Je ne le recommande pas. Dommage car le propos était bien trouvé.
NOTE
1/5
En l'an 1327, Guillaume de Baskerville et son secrétaire sont priés de découvrir qui a poussé un moine à se fracasser les os aux pieds des vénérables murailles d'une abbaye. Commence alors une enquête qui prendra de plus en plus d'ampleur à mesure que les jours passent...
CRITIQUE
Lecture commune organisée par Livraddict, je m'y suis plongée... pour en sortir extrêmement déçue. Les raisons sont simples :
Tout d'abord, l'écriture est toute petite. Je ne suis pas contre une typographie serrée, mais lorsqu'on ne veut pas se prendre la tête, je crois que ce livre n'est pas fait pour cela ! Bien au contraire, il demande un effort de concentration monstrueux et j'ai eu du mal à plonger dans l'histoire. Qui en gros se résumé à une enquête policière dans une abbaye (dont l'identité est inconnue) en l'espace de sept jours. Ca me semblait pas mal, mais l'auteur nous en donne TROP.
Je m'explique : au fil de l'intrigue, l'auteur nous parsème de mots latins ! D'accord, ce livre a été traduit de l'italien, et c'est bien connu, l'Italie est réputée pour avoir été l'une des villes les plus prestigieuses de l'Empire Romain. Mais tout de même ! Le traducteur aurait pu nous traduire les passages latins ! Mais non, il se contente de nous les servir comme un cheveu sur la soupe et c'est au lecteur de se démerder pour traduire... Bon, ce fut pour moi le plus gros défaut du roman, voire même un coup de gueule, mais j'assume.
Au niveau de l'intrigue, là encore, on a droit à des passages qui pour moi, n'ont rien à faire dans ce roman. Et j'ai essayé de calculer ; si on enlève les pages que je juge inutiles, cela ferait environ... une centaine de pages ! Et je ne vois pas l'intérêt de savoir, par exemple la pauvreté de Jésus. L'auteur nous parsème de détails dont le lecteur s'en fout. Cherche-t-il à nous prouver qu'il a une intelligence surdéveloppée ? En tout cas, je ne suis pas convaincue.
Les personnages maintenant. Il y en a pas mal et je suis vite perdue parmi eux. Mais deux d'entre eux sortent : Guillaume de Baskerville, Sherlock Holmes moyen-ageux et son secrétaire Adso (le narrateur de l'histoire). Ce dernier nous assome avec des descriptions à faire décrocher la mâchoire, tant elles sont ennuyeuses... Je pense notamment au prologue lorsqu'il nous décrit Guillaume dans les moindres détails. Eco tenterait-il d'imiter Balzac ? Tentative ratée, selon moi.
Bref, ce livre fut une belle daube. Je ne le recommande pas. Dommage car le propos était bien trouvé.
NOTE
1/5