HISTOIRE
Nul n'est à l'abri de l abominable. Nous sommes tous capables du pire ! Le mardi 16 août 1870, Alain de Monéys, jeune périgourdin, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. C est un jeune homme plaisant, aimable et intelligent. Il compte acheter une génisse pour une voisine indigente et trouver un couvreur pour réparer le toit de la grange d un voisin sans ressources. Il veut également profiter de l'occasion pour promouvoir son projet d'assainissement des marais de la région.
Il arrive à quatorze heures à l entrée de la foire. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l'aura lynché, torturé, brûlé vif et même mangé. Comment une telle horreur est-elle possible ? Comment une population paisible (certes angoissée par la guerre contre l'Allemagne et sous la menace d'une sécheresse exceptionnelle) peut-elle être saisie en quelques minutes par une telle frénésie barbare ?
CRITIQUE
Avertissement : ce livre ne doit pas tomber entre toutes les mains ! En effet, il raconte comment une foule paisible devient en quelques instants prises d'une frénésie telle qu'elle commettrra les pires atrocités. Et ce, pendant tout le roman.
Comment ne pas être horrifié devant une telle boucherie ? D'autant plus que l'auteur nous présente le personnage d'Alain, sa sympathie, son arrivée à la foire, et puis le drame qui se joue. Le roman s'achève par le procès des participants au massacre (quoiqu'ils ne seront pas tous jugés).
Teulé ne nous épargne aucun détail, tout est retranscrit, mais on a la larme à l'oeil, on voudrait se plonger dans le livre pour le sortir de ce mauvais pas. Heureusement, quelques amis du jeune homme tenteront de le sauver, mais seule Anne, une paysanne amoureuse de lui, risquera sa vie pour ça.
On ne dévore pas ce roman : on voudrait le fermer à tout moment pour que s'arrête cette histoire. Et pourtant, on se sent obligés de le lire jusqu'au bout.
NOTE
4/5
Nul n'est à l'abri de l abominable. Nous sommes tous capables du pire ! Le mardi 16 août 1870, Alain de Monéys, jeune périgourdin, sort du domicile de ses parents pour se rendre à la foire de Hautefaye, le village voisin. C est un jeune homme plaisant, aimable et intelligent. Il compte acheter une génisse pour une voisine indigente et trouver un couvreur pour réparer le toit de la grange d un voisin sans ressources. Il veut également profiter de l'occasion pour promouvoir son projet d'assainissement des marais de la région.
Il arrive à quatorze heures à l entrée de la foire. Deux heures plus tard, la foule devenue folle l'aura lynché, torturé, brûlé vif et même mangé. Comment une telle horreur est-elle possible ? Comment une population paisible (certes angoissée par la guerre contre l'Allemagne et sous la menace d'une sécheresse exceptionnelle) peut-elle être saisie en quelques minutes par une telle frénésie barbare ?
CRITIQUE
Avertissement : ce livre ne doit pas tomber entre toutes les mains ! En effet, il raconte comment une foule paisible devient en quelques instants prises d'une frénésie telle qu'elle commettrra les pires atrocités. Et ce, pendant tout le roman.
Comment ne pas être horrifié devant une telle boucherie ? D'autant plus que l'auteur nous présente le personnage d'Alain, sa sympathie, son arrivée à la foire, et puis le drame qui se joue. Le roman s'achève par le procès des participants au massacre (quoiqu'ils ne seront pas tous jugés).
Teulé ne nous épargne aucun détail, tout est retranscrit, mais on a la larme à l'oeil, on voudrait se plonger dans le livre pour le sortir de ce mauvais pas. Heureusement, quelques amis du jeune homme tenteront de le sauver, mais seule Anne, une paysanne amoureuse de lui, risquera sa vie pour ça.
On ne dévore pas ce roman : on voudrait le fermer à tout moment pour que s'arrête cette histoire. Et pourtant, on se sent obligés de le lire jusqu'au bout.
NOTE
4/5